rencontre en pleinne forêt ( pv Köinzell)

Dans la chaleur presque étouffante de l’été, les arbres aux feuilles jaunies se balancent, cherchant la moindre goutes d’eau dans la terre. Une brise bienvenue souffler de temps en temps, pour refroidir un coup se monde brulant. Au loin, on entend des cigales, et quelque rares oiseaux qui ont eu le courage de mettre le nez dehors. Dans cette forêt d’une chaleur extrême à la vie ralentit se déplace une ombre, cherchant elle aussi un peu de fraicheur. Cette ombre, rapide se déplace entre les troncs, à l’ombre des feuilles, en faisant craqué celle qui sont déjà tombé par manque d’eau.

Cette ombre s’arrête, elle à forme humaine, mais avec des oreille plus longue : une elfe. Ses yeux de brume scrutent les profondeurs de la forêt, elle cherche … Quoi ? Ses cheveux noir et argent, attachaient en natte, se balancent dans son dos, sont arc à la main, elle semble sur la défensive. Elle est vêtue simplement, en noir et argent toujours, court, pour ne pas avoir trop chaud. Cette elfe, c’est moi, Alia.

Mais qu’est ce que je fou ici ? Allez savoir. Bon allez, je vous le dit quand même :

Ce matin, je me suis réveillait avec l’horrible impression que je vais avoir un problème, et j’ai horreur de ça. J’ai ouvert grand les fenêtres, je me suis préparé, comme d’habitude, et je suis sortit. Sauf que là, je n’étais Pas seule. On m’a suivit. Oh, de loin, certes. Mais suivit. Je savais pas qui c’étais et je m’en foutais royalement, mais le problème, c’est que pendant une bonne partie de la mâtiné, il ou elle m’a suivit à la trace, comme un toutou, collait à mes basques. Et le pire, c’est que, sans bonne raison, je peut pas le ou la tuer, question de principes. Alors, j’ai courut, un peu, juste de quoi le ou la semer. Ça a pas suffit … Je me suis retrouver à sortir de la ville, et à courir entre les arbre de la foret. Là c’était sur qu’il me voulait quelque chose, j’ai armais mon arc, et me suis enfoncer plus profondément. J’ai finit par mettre une courte distance entre lui et moi. Mais pour combien de temps ?

Et donc me voila en plein milieux de la foret, poursuivis par quelqu’un que je connais pas, et avec aucune envie de le rencontrer … Manquerai plus que je face une mauvaise rencontre maintenant …

<< Köinzell >>

La chaleur de cette journée m'était presque insupportable, le faite que je n'avais même pas peu boire une seul gorgé d'eau, se qui m'enfonçais encore plus dans ce problème de sécheresse?

Habillé toujours de manière légère, je n'avais revêtu qu'une cape grise pour me protéger des rayon du soleil. Toujours avec des vêtements un peu moulant d'une couleur noir, des bottes de la même couleur et des accessoires argentés formés par le métal qui se reliaient tous a mon collier. Mon épée était toujours attaché dans mon dos pur facilité le transport. Mes cheveux étaient comme toujours attachés en nattes tressées avec soin dons étaient rattacher ou bout deux poignard d'argent.

Aujourd'hui j'eu la stupide idée de me rapproché des territoires des elfes de lune, espérant ainsi trouvé de quoi pouvoir me désaltérer un peu. Je m'étais donc mis en route vers leurs terres ou je n'étais pas vraiment sensé me trouvé.

//...//

"-Je crois que je me suis un peu perdu... Me demandais je avant de continuer énerver. Il n'y a que un ravin ici!!"

Je resta quelque secondes déçu devant le ravin avant de décider de repartir toujours a la recherche d'eau, je coupa donc par quelque plante qui arrivaient encore a survivre dans un endroit pareille quand les bruits de pas d'une elfe m'interpella. Je me retournas dans la direction des bruits pour mieux pouvoir discerner le visage de l'inconnue.

C'était bien une elfe, elle avait de long chevelure noir qui mettait en valeur sa peau claire. Elle était vêtu de vêtement noir et argent. Ces yeux était d'une couleur brume assez belle. Veux l'endroit ou je me trouvais, je pouvait en déduire qu'elle avait du sang d'elfe de lune mais vu ces cheveux d'ébène je dirais aussi qu'elle aurais, tout comme moi, du sang d'elfe noir.

Quand je me décida enfin a laisser l'inconnue seul je remarqua qu'elle était suivie par un autre elfe, celui était tout comme elle armé d'un arc et semblait vouloir la visser. Je jeta un regard noir a l'homme avant de sauté de ma cachette et de lui hurler devant le regard de la jeune elfe.

"-Je te laisserais pas prendre la vie d'un innocent, censuré !"

Je lui envoya mes deux poignard au visage. Je sortis rapidement mon épée et me jeta littéralement sur lui, l'efle qui était un peu stupide et qui n'avait rien venu venir se laissa surprendre. Je lui ouvris le ventre en quelque coup d'épée. L'homme tomba sur le sol, agonisant lentement. Mes mains, déjà blesser, vu souillé comme mes vêtements par le sang de l'assassin. Je me retourna vers la femme, ne lui dit rien par peur de m'énerver puis me remis sur la route.

|Hors-sujet, Köinzell: Pas très original j'avoue x)|

Mon adversaire était enfin en vue, avec un arc, et j’allais enfin pourvoir l’abattre sans me faire passé pour une criminel, ce que je ne chercher vraiment pas en ce moment, quand un jeune garçon de seize ans environ, avec des cheveux blond très clair nattés, un cape grise, et une épée à la ceinture. Mais qu’est ce qu’il faisait là celui la ? Il venait pas de la cité, je l’aurais vu, c’était donc soit un étranger soit un solitaire. Et il venait s’interposait comme ça, pour le plaisir.

J’avais envie de lui crier de partir, pour que je puisse abattre l’autre débile, mais il a enlevait les poignards de ses nattes, et les à lancer sur mon poursuivant en lui criant : "-Je te laisserais pas prendre la vie d'un innocent, censuré !" . Puis il a dégainé son épée, magnifiquement fine je dois dire, et l’a éventré.

Ça m’a choqué, il y a pas à dire. Les vêtements taché de sang il c’est retourné vers moi, mais il à rien dire. Pire, il est partit, comme ça. J’avais horreur de ce type de personne, je viens, je te sauve, j’me bar. Pire, j’avais besoin de l’autre débile vivant, pour savoir qui l’employer. Ben maintenant c’était foutu. Je me suis retourné dans la direction où était partit le jeune il a quelque second. Chez pas se qu’il faisait ici, mais il avait pas à tuer ce type, c’était mon combat, pas le sien.

Je l’ai suivit, rattrapé et me suis planté devant lui. Je lui ai dit d’une voix neutre, avec aucun sentiment dedans pouvant indiquer mon humeur :

- Pourquoi as tu fais ça ?

<< Köinzell >>

Ma respiration fut de moins en moins régulière, plus je marchais, plus celle ci me donnait l'impression d'étouffer peu à peu. Je rattacha mes deux poignard dans mes nattes, se sera moins lourd a porté mais pourtant je traînais lourdement mon épée sur le sol, je n'avais même plus la force de la porter sur mon dos ou même la ranger tout simplement, elle était beaucoup trop lourde. Et comme si sa ne suffisait pas l'inconnu de tout a l'heure venait de ce planté devant moi, elle pris un air neutre, dénoué de toute émotion et me dit.

"- Pourquoi as tu fais ça ?"

L'efle semblait un peu plus vieille que moi et malgré le faites qu'elle est pris ce stupide air neutre j'eu l'impression qu'elle me criait dessus, comme si je venais de faire la chose la plus atroce au monde. J'essaya de lui répondre mais aucun bruit ne sortis de ma bouche, mon corp se mis a trembler un peu. Je posas ma main gauche sur l'épaule de la belle inconnue, je suis sur que celle ci aurais bien voulu la repoussé comme un si j'étais une sale m**** mais elle n'aurait même pas eu le temps.

"-Olja..."

Murmurais je faiblement, mes paupières se referment, je laissa glisser mon épée ente mes mains et tomba violemment sur le sol sec de cette journée d'été. Une seule phrase me resta en tête, celle qu'elle m'avait dit en me marquant a vie...

"- N'as tu aucune honte? N'as tu pas honte d'avoir perdu contre une femme?"

Il avait l’air de vouloir me répondre je crois. Mais il a pas pu. On aurai dit un poisson hors de l’eau. Il a ouvert la bouche, mais aucun son n’est sortit. Il a posé sa main gauche sur mon épaule, de quel droit ? J’avais horreur qu’on me touche. Mais avant que j’ais pu l’enlever, il a murmuré « Olja ». Son épée lui a glisser des main, et il est tombé dans les vapes, à bout de force. Je sais pas ce qu’il avait, mais je pouvais pas le laissait là.

Je l’ai observé, et j’ai vu pour la première fois, qu’il avait une respiration laborieuse et les lèvres sèchent. J’ai cherché dans mon sac, autour de ma taille, et j’en ai sortit une gourde de cuir, pas bien grande, avec de l’eau un peu tiède, mais ça fera l’affaire. Je l’ai mis sur le dos, l’ai un peu redressé.

Ça me ressembler pas de faire la gentil fille qui aide tout le monde, mais bon là, c’était autre chose. J’ai fait glisser un peu d’eau entre ses lèvre, tout en écoutant attentivement les environ. Pourquoi je n’avais pas prit shadow, ça aurai était plus facile de le ramenait à la cabane pour qu’il ne meurt pas de désidratation à cause de la chaleur, mais le portait jusqu’à la ville, mission impossible. J’vais pas le choix, fallait le réveiller, pour qu’il soit pas un poids mort, et l’apporter jusqu’au ravin, pour trouver le l’ombre, après on avisera

[ Ko, fais gaffe à ton langage, même celui de ton personnage Wink

]

» RP>> Köinzell
» Une Rencontre Surprenante ! [Köinzell]
» Köinzell, Übel Blatt |Presque fini|